mercredi 10 décembre 2008



La galerie Archétype, le Ranquet et leurs résidents






Le blog fleur bleue



Hélène Larrivé, une auteur devenue éditrice






Pas vraiment fleur bleue




Quoique

présente ici quelques amis, toutes races confondues






Le premier arrivant, le Chef. 
Grand aboyeur devant l'Eternel





18 ans maintenant, et bon pied mais pas bon œil. S'est bien adapté à la campagne.

Sa spécialité: aboyer la nuit perché sur un rocher, à l'écho. Il veut avoir le dernier mot.





Minos, tombé du ciel, qui adore les "mac", si chauds, si confortables ... "Les PC, pffft"...





Roussette, jalouse. Attention, l'air de rien, 
un direct du droit foudroyant





Et puis, Tess



Une imprévue et aussi un très bon chien... La cerise sur le gâteau : cinq petits à venir... Mord parfois ! Surtout les copains. Pas trop fort...






Un vieil os exhumé. "J'ai besoin de calcium, 
je ne sais pas pourquoi"...





C'est peut-être ça ?





"Allaiter tout ce monde, pffff "... 
Entre les phoques et les rats, et un appétit.





Un des quatre frères et sœurs de Pif à deux jours.




Urgent (nuits agitées). Mais on a rigoureusement sélectionné les adoptants. Drastique : CV, revenus, logement...




"Arrête de me photographier, je dors."





Pif (1 mois) la dernière de la portée, réanimée au bout de quelques minutes, secouage tête en bas, bouche à museau (!) ... et c'est reparti... des séquelles? Non, apparemment... mais on l'a gardée tout de même. Très "niche" et très coussin"...






"Tu flaires, tu suis la piste et puis tu mords à la gorge et tu déchires..." Une bonne éducation de chien.





Pousse-toi, le vieux, tu vois bien que j'ai grandi.

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Et ceux qui sont restés sur le carreau.


Qui veut m'adopter ? Je suis un vieux caniche et à la fourrière, je risque gros.





Et moi ? J'ai été recalée car mon maître voulait un chien de "sécurité", et moi, la sécurité, c'est pas mon truc... C'est pour ça que j'ai l'air si triste. Le gentillesse, ça ne paie pas, surtout lorsqu'on est une Malinoise. Contacter le site.






Moi ? Ça va, merci. J'ai un maître comme tous voudraient, un génie d'informatique, un Dieu vous dis-je.







Tu vas voir qui c'est Minos.


Les chèvres, ça n'a aucun humour 
(13 points de suture).




La "mise en cause".




Cornes tuyautées à présent : un certain chic.





La galerie l'hiver et la nuit. 
Ce n'est pas pareil que l'été




"Inhumain... Comment fait-elle pour résister ? Elle doit avoir du sang Huskie, c'est pas possible." (Exact, d'une certaine manière.) "Si ça continue, j'appelle Bardot."





"Oui, moi aussi je t'aime, mais laisse moi respirer".




La maison des bêtes au Ranquet.




Et la "nôtre". Une liste électorale féministe, aussi ... Quand on voit ce que font les hommes -parfois-, il n'y a pas à se gêner.


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Et puis le dernier venu, Vôtan, un Berger Allemand toujours prêt à faire plaisir, obéissant, discret.




Ce bâton ! Pourquoi ne veut-elle pas 
que je rentre dans la galerie avec ?


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Et... Un soir, plus de Vôtan.





Des milliers d'affichettes, appel radio... et la solidarité de tous : gendarmes, policiers, Maires, chasseurs (!) ... On le voyait partout. 


Puis, les bois, la montagne... et des rencontres : des ménagères, de vieux paysans au coin du feu qui s'ennuyaient un peu... mais aussi des artistes, des intello "tout Paris", "Berlin" ou "Londres", inattendus en ces lieux reculés... et des stoïques hors norme en tipi (!) etc ... Inoubliable.


Et le miracle : il est retrouvé après 23 jours... avec 12 kg en moins et complètement aphone... Le Dr Piedalu l'a examiné en urgence et sans me faire payer. Il s'est remis... entre autre grâce à des herbes qu'il a broutées. Plus efficace que le smecta. Mais il est craintif et moins gentil qu'avant : "on ne nait pas méchant, on le devient", oui Simone.





Du coup, d'autres chiens perdus, entre autres, Mistou, que voici... ont retrouvé leurs maîtres. Celui-là venait d'Avignon ! Cela faisait trois mois qu'il errait dans les bois et dans le hameau; personne n'osait l'approcher, mais les gens le nourrissaient parfois... Et pourtant il était tatoué. C'est une jeune collègue qui y a réussi : les profs, ça a des nerfs. Obligé.

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Et les mécontents, car il en faut coco




"On était quand même vachement mieux quand il était perdu, le gros..."... "Tu m'avais dit que c'était toi qui l'avais bouffé..."

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Sans transition... un peu de culpabilité sans doute d'avoir tant de bêtes avec la pénurie d'eau ...




Le Ranquet. Une lagune pour traiter et récupérer les eaux usées (130 litres par personne et par jour). Il suffit d'un mètre carré et demi par usager. A vos pioches. Ca fait aussi maigrir ceux qui en ont besoin.







Allégorie de la Caverne, bien sûr.





Esquisse. Le temps perdu.





Mélancolie. Le temps, une illusion persistante... Paris.
Le temps retrouvé....
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Sans transition encore, des installations de la galerie à Anduze.....





Ave Cesar.





Ollé !

Une installation d'os pourris, de sang et de plâtre, avec une (vraie) épée. Pour inaugurer à ma manière un vernissage d'aficionados... Petits fours et "champ" au milieu des mouches. Très chic. Personne n'a bronché.






Bon baisers de Nîmes .... Une observation : devant une installation, on se tait. "Ça" parle seul. Là, ça puait. Reposant, Socrate.





Solitude.




Pourtant, que la montagne est belle, même sans Robin... C'est ça le pire : normalement, la terre devrait tourner à l'envers... Mais non. C'est à désespérer...





Allégorie de la caverne, toujours.





ANDUZE



La galerie atelier.





Un jour de vernissage dans la galerie Archétype.



Jean-François Galtier, de Midi-Libre.



photographie Danielle Lange.



avec Cris German.

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Tableaux d'Hélène Larrivé. [Un blog particulier sera réservé à Danielle Lange et à Cris German.]






Un, qui est parti en Hollande.


Un vieux juif devant la mer à Beyrouth. Pour Robin ....





Maltraitance.



Eros. Danse de racines. Volée dans le jardin de la galerie... Sans doute a-t-elle plu ? Tant mieux...



Vieux portail restauré avec bris de miroir et peintures. Une vie en huit panneaux...





Périphérique : 2 h/j, 4 j/semaine, 18 ans = 1 an de vie. Mais il y a "France Culture". Ach, Paris!






Baigneuse (galerie Archétype).




Manhattan (galerie Archétype).






L'appel (galerie Archétype)





Fiesta à Téhéran.




Subliminal (galerie archétype). Comment dit-on Muse au masculin ? Museau ?





Pastel... pendant une séance de signature à Cora... où la foule (féminine) se précipitait sur des chats en peluche verts en promo... me demandant où ils se trouvaient... Vanitas vanitatum. Mais parfois on y fait des rencontres qui changent les choses. Par exemple Marie-Christine et Ralph Blindauer, avocat et associés ! http://erjud.blogspot.com.






Reprise, à "tête reposée" (!)


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Et..... 2002 !! Dies irae... Le Gardon se fâche d'un coup et nous renvoie à notre précaire condition. Dans la galerie, de l'eau jusqu'au plafond.



Retour à une vie archaïque sans électricité, téléphone, essence ni... eau potable. Des touristes venaient nous voir et nous filmer comme des Abos du bush.

Mme Ducruche, sans tailleurs ni escarpins vernis,
pelletant la boue en Jean's et bottes sales paraissait dix ans de moins...

Des vêtements arrivaient en quantité, jamais je n'ai été si bien habillée. D
es jeunes venaient de toutes parts nous aider...






On s'est réconciliés avec les voisins chics qui admonestaient le caniche pour pipis devant leur joli cabanon de jardin : ils n'avaient plus de cabanon ! A la place, un tas immonde recouvert de boue gluante et toxique. Vanitas...


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ALES, LE FORT


Le fort Vauban, haut lieu de résistance et d'inspiration.




Une affiche pour la journée du patrimoine.

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Exposition à la salle d'Yves et d'Anne-Marie Simon, à Saint Ambroix... Merci à eux. Être peintre, c'est... être culotté, oser montrer ce que l'on fait et quelqu'un qui vous expose. Et quelqu'un (facultatif) qui achète un tableau.



Non, ce n'est pas le Christ... mais Jorje, un Museau" (redite: masculin de "Muse") qui a bien cette tête-là.


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Une photo de Sylvette Leblanc... Entre ménage et divertissements, un talent qui n'a pas pu s'exprimer...

"Demain ? N'y compte pas.
Ce frêle bonheur d'homme,
N'espère pas qu'il dure en ce siècle agité,
Car tout vient, passe et nous échappe,
Comme un vol de libellules
Au fond d'un soir d'été...."

(Simonide, VI ème siècle avant JC)




Et pour finir en gaieté, enfin presque.



L'affiche le dit avec simplicité : "UMP Imaginons la France de demain"...

Merci à Bernadette Poirot et à "La Mée".

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Bon, à présent que vous vous êtes amusés, du moins je l'espère, voici un blog plus sérieux, sur les erreurs judiciaires à visiter d'extrême urgence. La vie d'un homme est peut-être entre vos mains. Comme tous. Allez, courage, un clic !
http://erjud.blogspot.com
ou le site http://larrive.info/ ou
http://larrive.blogspot.com
(qui répertorie les blogs actualité HBL)